Titre : | Une formation permet d'accéder au CQP de formateur-consultant : Dossier (2012) |
Auteurs : | Caroline Fornieles ; Valérie Grasset-Morel ; Laurent Poillot ; Mariette Kammerer |
Type de document : | Article : article de périodique |
Dans : | Entreprise et carrières (n°1099, 05/06/2012) |
Pagination : | pp. 22-29 |
Langues: | Français |
Mots-clés : |
Entreprises Airbus SA ; Michelin ; Clyde UnionThesaurus formation 2019 TUTORAT ; SENIOR ; TRANSMISSION SAVOIR ; FORMATION TUTEUR ; EXPERIENCE FORMATION ENTREPRISE ; ACCORD ENTREPRISE ; INTERVIEW ; ANACT ; BILAN ; RELATION PEDAGOGIQUE ; PEDAGOGIE ALTERNANCE |
Résumé : | En 2009, les trois quarts des entreprises avaient fait du tutorat un des engagements de leurs plans et accords seniors. Trois ans plus tard, seules quelques-unes en ont fait une priorité, investissant en formation ou rémunération complémentaire. Le tuteur ne transmet pas seulement des compétences techniques, il aide aussi le jeune à adapter son comportement aux contraintes de l’entreprise. Une vraie compétence relationnelle s’avère nécessaire pour transmettre une compétence technique, surtout lorsqu’on accueille des jeunes en difficulté. Selon les auteurs, dans une bonne partie des entreprises, rien n’a été fait depuis ces accords seniors, le tutorat restant lettre morte. Dans d’autres, il a été finalement proposé aux seniors, mais sans rémunération complémentaire ni temps libéré. Et peu de salariés ont eu envie de s’engager dans ces conditions. La formation des tuteurs se professionnalise avec le recours aux Opca. Elle dure généralement de deux à cinq jours. Le tutorat senior crée également une dynamique de coopération. Sur ces sujets, ce dossier regroupe sept articles. Plusieurs articles présentent des cas d'entreprise, par exemple chez Airbus France, Michelin ou Clyde Union, équipementier des industries de l'énergie. Le dossier est enrichi d'une interview d"un chargé de mission de l'Anact qui explique que le tutorat doit être reconnu et préparé. |