Titre : | Accord du 21 octobre 2020 relatif à l'activité réduite pour le maintien dans l'emploi (2020) |
Convention collective : | |
Type de document : | Article : texte conventionnel |
Dans : | Bulletin officiel des conventions collectives (n° 2020/0048, 12 décembre 2020) |
Pagination : | 6 p. |
Langues: | Français |
Mots-clés : |
Thesaurus formation 2019 CHOMAGE PARTIELSignataire OTRE - Organisation des transporteurs routiers européens ; TLF - Union des entreprises de transport et logistique de France ; FNTR - Fédération nationale des transports routiers ; CNM - Confédération nationale de la mobilité ; FGTE CFDT - Fédération générale des transports et de l'équipement ; FGT CFTC - Fédération générale des transports ; Fédération nationale des transports CFE-CGC |
Résumé : | Activité réduite pour le maintien dans l'emploi |
Nature du texte : | Accord |
Date de signature (Format date) : | 21/10/2020 |
Texte en vigueur : | oui |
Arrêté extension : | 28 décembre 2020 |
Date arrêté extension : | 28/12/2020 |
Extension Journal Officiel : | 30 décembre 2020 |
URL extension : | https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042761134 |
Candidat(s) descripteur(s) du thésaurus Formation : | APLD - Activité partielle de longue durée |
Descriptif du contenu de l’accord : |
Arrêté d'extension du 28 décembre 2020, JO du 30 décembre 2020 Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés des entreprises de transport routier interurbain de voyageurs compris dans le champ d'application de la convention collective nationale des transports routiers et des activités auxiliaires du transport du 21 décembre 1950, les stipulations de l'accord du 21 octobre 2020 relatif à l'activité réduite pour le maintien dans l'emploi dans le transport routier interurbain de voyageurs, conclu dans le cadre de la convention collective susvisée. L'accord de branche est conclu en application de l'article 53 de la loi n° 2020-734 du 17 juin 2020, il permet le recours à l'activité réduite pour le maintien en emploi par la voie d'un document élaboré par l'employeur. Ce document comporte un diagnostic sur la situation économique, les perspectives d'activité, et mentionne, entre autre, les engagements en matière d'emploi et de formation professionnelle en faveur des salariés. Le recours à la formation des salariés placés dans le DSAP permet de sécuriser les parcours professionnels afin de maintenir leur employabilité et d'accompagner la relance de l'activité des entreprises. Les actions de formation pourront s'inscrire dans le plan de développement des compétences, dans le cadre de la promotion ou de la reconversion Pro-A pour les métiers en forte mutation avec les certifications qui y seront associées. Favoriser les projets coconstruits par l'employeur et les salariés (actions de formation en situation de travail, formation à distance, présentiel...). Afin de faire face aux graves difficultés économiques conjoncturelles, les signataires de l'accord réaffirment leur demande à l'Etat de pouvoir mobilier, les ressources disponibles de l’opérateur de compétences des entreprises de proximité et des subventions publiques dédiées à la formation (FNE-Formation, Fonds social européen (FSE), autres...), pour le financement des coûts de formation engagés par les entreprises. Tout salarié placé dans le dispositif spécifique d'activité partielle peut définir ses besoins en formation à l'occasion de tout entretien avec son responsable hiérarchique (entretien professionnel, entretien annuel d'évaluation, entretien managérial...). Sont financés par le dispositif FNE-Formation et/ou du CPF les projets de formations certifiantes, visant une certification rattachées à un métier ou à une activité dont les compétences sont recherchées par les entreprises de la branche, définis dans le cadre d'un entretien. L'accord expirera le 30 juin 2025. |
En ligne : | https://www.legifrance.gouv.fr/download/pdf/bocc?id=boc_20200048_0000_0018.pdf&isForGlobalBocc=false |
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